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Wojciech Blazejczyk

Théorie générale de la relativité

Pour violon, clarinette contrebasse, piano à queue et bande

2018

12'

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Médias

KwartludiumSeptembre 2018
00:00 / 12:45

Score

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À propos

Instrumentation
cl/pno/vl/élire
Commandé par
Projet cofinancé par le Ministère de la Culture et du Patrimoine National de la République de Pologne
dans le cadre du programme
Dédié à
Première
22.09.2018, Sala Kameralna Filharmonii Narodowej w Warszawie
Concepteur de musique assistée par ordinateur
Éditeur
Remarque importante

L'hypothèse de base de la théorie de la relativité est que « nous ne pouvons pas parler de quantités physiques telles que la vitesse ou l'accélération, sans spécifier le système de référence ». « Tout mouvement est déterminé et mesuré par rapport à d'autres systèmes de référence spécifiques ». C'est du moins ce que dit Wikipédia, ce qui peut être vrai ou non. La compatibilité avec l'état réel n'est pas importante dans le monde post-vérité, où chacun a le droit non seulement à ses propres opinions, mais aussi à ses propres faits, en se référant à ses émotions et à ses croyances personnelles. Ce qui est aussi une question relative, car il n'y a pas de faits, seulement des interprétations. Et même s'ils l'étaient, chacun a le droit de présenter des faits alternatifs et de s'y tenir. Nous n'avons pas votre manteau et que ferez-vous de nous ?

La pièce traite de questions liées à la relativité, se référant à la fois à la relativité de

croyances ainsi que la perception du son. Les paradoxes de l'audition, étudiés par Diana

Deutsch (Speech to Song Illusion, Phantom Words, Scale Illusion) a été utilisé, ainsi que le phénomène de paréidolie sonore (l'impression d'entendre des sons familiers, en particulier des voix, parmi divers types de bruits) et les sons électroniques perturbant la perception, pour n'en citer que quelques-uns. La couche électronique explore également les voix de personnalités publiques qui font des déclarations qui transmettent la vérité. Leurs mensonges (ou récits ?), à travers de multiples répétitions, créent une nouvelle réalité sonore (illusion ?), se transformant en phrases musicales, selon le principe que le cerveau humain assimile plus volontiers les stimuli et les messages qui lui sont déjà connus. Le système d'amplification, au lieu de chercher à créer une image sonore similaire pour tout le public (comme cela se produit généralement), vise à diversifier l'image sonore en fonction du point d'écoute. Puisque, comme nous le savons, la perception de la musique dépend tellement de facteurs non musicaux (visuels, psychologiques, acoustiques, ou même de ce qui est écrit dans les livres de programmes), ne prétendons pas être objectifs.

Note de programme
Note technique
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